Le Jutland, à l’ouest du Danemark. Des dunes, des éoliennes et la petite ville de Velling où la narratrice de ce roman doit suivre son compagnon, enseignant dans une école alternative. Alors que ne lui incombent que les rôles ingrats de « pièce rapportée » et de mère au foyer, elle se donne une mission, passer son permis de conduire. Plus intéressée par la conversation que par le volant, elle essuie cependant les échecs à répétition.
Face au désespoir de ses moniteurs d’auto-école, au silence renfrogné des Jutlandais et à la bien-pensance de l’équipe pédagogique, les mots seront son seul secours. Elle parodie les classiques de la chanson danoise tout en tenant, dans le journal local, la rubrique du courrier des lecteurs. Elle y prodigue des conseils de vie et tente d’y résoudre quelques situations délicates : un couple aimant mais aussi dysfonctionnel que les autres, un désir troublant et polymorphe, des amis traversés par les paradoxes et autant de pensées inavouables qu’elle décortique avec malice.
Terrain d’observation pour l’esprit aiguisé de Stine Pilgaard, Le pays des phrases courtes est un roman facétieux où cette jeune autrice déploie tout son sens de l’humour pour décrire la société contemporaine.
Née en 1984 à Aarhus, dans le Jutland, Stine Pilgaard est une autrice maintes fois primée au Danemark. Son premier roman, Min mor siger (« Ma mère dit », 2012), a été récompensé par le prix Bodil et Jørgen Munch-Christensen tandis que Lejlighedssange (« Chansons de circonstance », 2015) a eu un grand succès en librairie. Couronné par la critique, Le pays des phrases courtes, son premier roman traduit en français, a reçu le prix des Libraires danois en 2020.
« Une petite pépite parfaite pour le printemps »
Librairie Pantagruel (Marseille)
« Un mélange d’humanité, de poésie et de dérision qui m’a fait corner un certain nombre de pages (je sais, c'est mal), et rire à gorge déployée. Je ne saurai que vous le conseiller vivement ! »
Nina – Librairie Le Livre écarlate (Paris)
« Son mari a été engagé dans la "hojskoler", elle, la "pièce rapportée", va tenir la "Boite aux lettres" et, enfin ?, obtenir son permis de conduire... Elle nous le raconte dans un style TRÈS direct, sans fard, drôle et nous offre une vision revigorante du Danemark. »
Alexandre C. – Librairie de Port Maria (Quiberon)
« Drôle, inattendu, poétique, sensible, tendre et dépaysant, Le pays des phrases courtes est parmi les plus beaux cadeaux à (s’)offrir ! »
Librairie L’Arbre à lettres (Paris)
« Un roman danois d’une belle originalité et rafraîchissant par les temps qui courent. C’est drôle et désopilant… plein d’humour et en même temps porteur d’une belle forme de mélancolie. »
Librairie Le Passeur de L’Isle (L’Isle-sur-la-Sorgue)
« Un roman peut vous emporter bien plus longtemps que le temps de sa lecture. Le Pays des phrases courtes est de ceux-là. Venez, abandonnez tout préjugé et laissez-vous porter par le vent de la Baltique.
Cette comédie distille un message évident : même si on ne se comprend pas, même si nos préjugés sont importants, on a tous inévitablement besoin des autres. Cet hymne à la tolérance est un pur moment de bonheur littéraire. »
Christelle Chandanson - Librairie Elkar (Bayonne)
« Entre fantaisie et gravité, malice et profondeur, on s’attache à la narratrice, venue vivre dans le Jutland danois pour suivre son compagnon professeur dans une école alternative. Derrière l’inventivité et l’humour se cachent un vrai talent romanesque et un propos bien plus profond qu’on ne pourrait le croire. Une vraie réussite ! »
Mélanie – Librairie La Droguerie (Saint-Malo)
« Pétillant et vif ! (…) Un roman qui fait du bien, qui dépeint la vie avec élégance et ses aléas avec beaucoup d'humour. Un régal ! »
Hélène – Librairie Gibier (Pithiviers)
« Stine Pilgaard a écrit un roman envoûtant. Elle a réussi le tour de force de nous offrir un livre hilarant et métaphysique à la fois. »
Véronique Ovaldé – Le Monde
« Drôle, sincère, lucide, d'une sensibilité et d’une inventivité folles, la narratrice du Pays des phrases courtes nous ravit d'emblée. »
Gladys Marivat – Lire
« La verve de l’auteure culmine dans ces interludes en forme d’échanges épistolaires ou de ritournelles qui ponctuent le texte. »
Marie-Claire